the dhen Chronica part 2

je n'étais pas sensé joué aujd'h ni me oc a internet parce que j'avais pleiiiiiiin de boulot car je reprends les cours demain :$. cependant, je me suis levé tot ce matin pour faire ma synhtèse de document ( je trouve débile de faire encore du français a notre niveau mais bon....)
voici don ma production du dimanche matin cerveaux un peu embrouillé et philosophie de lendemain de cuite ^^ mais je trouve que quelque part c'est assez sensé alors... je vous en fait part. c'est en deux parties et vous lirez sa quand vous serez en train de vous faire chier au boulot^^ bien a vous
xXx dhen


Sujet : Faire une synthèse objective, concise et ordonnée des documents suivants qui posent le problème de l’image de la femme à travers la mode et la publicité.




Au cours de chaque grande période historique, l'image de la femme en tant qu'individu dans la société se voit révolutionnée par l'invention et l'arrivée de nouvelles normes et de nouveaux « canons de la beauté ». Si il fut un temps ou les femmes aux formes généreuse et particulièrement rondes étaient les femmes les plus appréciées ( bien qu'elles le soient encore dans certaine sociétés), notre société occidentale a tendance à encouragé l'image de la femme anorexique, filiforme au corps soit disant « parfait ». De plus, et cela n'arrange rien, nous vivons au cœur d'une société de consommation nous ventant à chaque minute les miracles de progrès de la recherche afin de rendre les femmes plus belles (crèmes miracles en tout genres), les femmes sont les premières visées par cette consommation de masse puisque c'est à elles que ces produits s'adressent en leur donnant comme modèle des mannequins qui ne mangent que de la salade a longueur de journée.
On en vient à se poser la question de savoir quel est le problème de l'image de la femme de notre société actuelle au travers de la mode et de la publicité.
Dans un premier temps nous verrons l'image de la femme au travers de la mode puis,nous enchainerons sur l'image de la femme à travers la publicité.

Il existe en chaque femme qui affirme être en parfait accord avec son corps le souhait (même enfoui ) de ressembler à tous ces mannequins que l'on voit défiler sur les podiums de ces Jean-Paul Gautier et autres Karl Laggarfeld . Une vérité a cependant éclatée de puis certaines années à savoir que l'envers du décors n'est pas toujours pailleté et verni de rose puisque de nombreuses égéries des podium sont sujettes à des privations d'ordre alimentaires pour pouvoir rentrer dans des jeans taille 32 (personne de nos jours ne rentre dans un jeans de cette taille a part une fillette de 12 ans et encore...); et le pire c'est que ces mannequin pensent que cela est bon pour elles, on appelle cela l'anorexie. Avec l'accroissement de plus en plus effarant de notre société de consommation , consommer est devenu une obsession, nous sommes rentré dans une société d'uniformisation où il faut absolument ressembler à tel ou tel mannequin sinon on ne peut pas réussir dans la vie ( professionnelle et sentimentale) sois disant . D'ailleurs la mode du prêt à porte est devenu la mode du prêt à jeter puisque nous consommons les vêtements comme de simples cannettes de sodas, achetés, porté une fois puis remisé au fond d'un placard ( on ne peut tout de même pas être vu çà deux soirée avec la même tenue!! c'est insensé. )
Il s’agit pour la femme d’atteindre un poids irréel ;comme le disent Anne Fohr et Isabelle Monnin dans cet article du Nouvel Observateur « la femme est à la recherche d’un corps introuvable » La femme cherche à tout prix à s'identifier à ses canons de la beauté pour pouvoir briller en société car ici bas, tout n'est désormais plus question que d'apparences. La société du paraître.
Carine Hahn explique d'ailleurs que ces mannequins auxquelles ces demoiselles veulent tellement ressembler ne sont pas tout simplement maigre parce qu'elle font attention, elles sont filiformes parce qu'elles sont malades de l'anorexie, qui n'est pas seulement un problème psychologique mais bel et bien une maladie dont on meurt ( deux mannequin sont décédées en 2006). et à la place de réagir dans le bon sens et de faire face à cette société du paraître montent , de plus en plus de jeunes fille se disent que puisqu'il fait être anorexique pour ressemble à ces mannequin alors elle vont devenir anorexique...

Cependant, la mode , le monde des podiums et des mannequin ne s'adresse qu'à une certaine couche de la société qui a la possibilité financière de pouvoir y assister et se payer les robes de ces couturiers. Alors, pour atteindre les couches dites « inférieures » la société a trouvé un moyen, la publicité adressée aux familles par la télévision, nouveaux dieu des familles , la télé dicte ce qu'il faut acheter et à qui il faut ressembler pour donner l'impression que nous aussi nous avons réussi.
La publicité nous vente de plus en plus les miracles de ces produits permettant d'avoir un corps de déesse en mettant en scène des actrice nues avec un corps parfait, sans aucune trace de cellulite, avec des fesses fermes et des abdos en béton, forcément à la longue, cela donne envie. Désormais tout dans la publicité est sujet à ces corps présentant une nudité excessive, on ne devrai pas avoir besoin de voir une paire de fesses pour une publicité sur des yaourts ou des pneu de camions. De trop nombreuses publicités et films ont pour but de faire apparaître la femme comme un objet , et le pire c'est que certaines commencent à y croire, faisant ainsi reculer des années de luttes pour obtenir des droits de considération égaux à ceux des hommes.
Heureusement on voit peu à peu emmerger des publicités mettant en scène des femmes un peu plus rondes, avec des formes et qui n'en sont que plus belles que de vulgaires « femmes squelettes »( on citera notamment la publicité pour les savons dove.)

La publicité et la mode de notre société actuelle n'ont eu pour résultat que de dévaloriser l'image de la femme auprès des hommes et même auprès des femmes elles même. Ce qui est triste c'est que cela ne risque pas de changer puisque ces milieu gagnent de l'argent en continuant ainsi. On arrête pas un travail qui est rentable. Le pire est que les femmes elles même y perdent leur estime d'elle même et commencent à croire que pour être appréciée il faut être anorexique. Et cela ne risque pas d'aller en s'ameliorant.

Sujet : Pensez-vous que, comme le dit Anne Fohr, dans son article, il faille « dans notre société d’apparence et de marché être conforme au modèle » ?



La société dans laquelle nous vivons est basée sur deux grands axes: la consommation de masse et l'apparence. Dernièrement, l'apparence a pris une ampleur considérable par l'apparence de phénomènes de société renouvelée environs tous les 6 mois ( on nommera par exemple en France le phénomène tektonik, déjà remplacé par son cousin allemand le Jump style). Auparavant, pour réussir et évoluer dans notre société, il était important d'avoir de l'esprit et de la culture, désormais il semblerait que notre futur soit à la merci d'une bande de jeunes décérébrés criant et vociférant leur ignorance dans des micros lors de prime-time ahurissant de bêtise, tout en se ventant d'être les plus beaux, d'avoir le dernier t-shirt à la mode ou la paire de basket la plus chère. Le but étant de se fondre le plus possible dans un moule et d'être fier d'être conditionné.

Est-ce que dans notre société d’apparence et de marché il faut être conforme au modèle ?
On a tendance à penser (apparemment a tort) que dans notre société, pour réussir, il faut être bardé de diplômes, plus on en a plus on est intelligent et plus facilement on trouvera sa place au soleil. S i cela fut vrai à une époque, celle ci est désormais révolue car notre société nous impose de renier ce que l'on est au plus profond de nous afin d'entrer dans le moule de l'uniformité conditionnée. On ne nous demande pas de réfléchir pour faire bouger la société, mais de rentrer dans le rang et de ne pas faire de vague, de suivre la norme. Les seul qui disposent encore de lucidité seront alors écartés et marginalisés car il ne sont pas conformes aux modèles imposé, un peu comme des pièces défaillantes dans une usine d'automobile.
Cependant, pour trouver du travail l'apparence est importante , car il faut le dire, il y a apparence et apparence, on peut être sois même dans sa tête et habillé proprement pour décrocher un emploi, mais cela relève plus du bon sens. Car, si malgré tout on se borne a vouloir rester sois même a 100%, la société nous rejettera. Dans la société actuelle il est désormais devenu impossible de faire fi des apparence puisque c'est l'image de nous que l'on donne aux autres qui leur fait le plus impression, peut importe que l'on ai des idées révolutionnaires etc... l'apparence physique sera ce que l'on laissera indéniablement et c'est cela qui est dommage. Heureusement qu'il existe des personnes pour qui l'apparence et le paraître ne sont que des choses futiles, car ce sont avec ces personnes que les échanges seront les plus intéressants.

Pour répondre à la question, oui il fait désormais être conforme a un modèle dans notre société pour réussir, aussi bien sentimentalement que professionnellement et il n'est pour le moment pas possible de faire autrement car les gens se soucient plus de l'image qu'il renvoient aux autres que de ce qu'ils sont réellement . Il faut cependant savoir garder sa part de personnalité car c'est ce qui nous fait nous sentir vivant, et non pas le matériel , la dernière voiture ou le dernier portable à la mode.

interessant!
je pense que tu aurai aussi pu insister sur le fait que les mannequins qu'on voit ne sont pas toutes anorexiques mais qu'en revanche la totalité est retouchée par ordinateur dans les magazines.
Et que par conséquent les femmes s'identifient à des "créatures imaginaires". Leur but n'est jamais atteint, s'ensuit culpabilité et mal-être puis anorexie pour certaines. Une belle descente aux enfers quoi.

Tu oublie une chose nahia, dans un sens, il y a l'anorexie, dans l'autre la boulimie. Les deux sont le résultat d'un mal être qui n'est pas forcément dû directement aux magazines. En effet, nous vivons dans un monde ou l'opinion des gens, compte beaucoup. Ainsi, un individu, qui ne lit pas de magazines, peut être amené à se sentir "mal" à cause de l'opinion des autres, qui lui a été forgé par les magazines ou autre support de comparaison. Ainsi, une personne peut penser que son nez est trop gros ou qu'elle n'a pas assez de poitrine, ou encore, qu'elle est trop grosse à cause de ce que les gens en pense.

tout à fait zaar, j'ai parlé de l'anorexie parce qu'il y faisait référence mais il y a aussi la boulimie.
et si j'ai donné l'exemple des magazine c'est parce qu'il traitait de la mode et de la publicité et s'en est un bon support.
et oui il y a aussi les gens qui n'aime pas leur image à cause des autres. mais ces autres qu'ont ils pour modèles pour juger ces personnes?

exactement, nahia, nous vivons actuellement dans un monde, où l'opinion est superficiel et obnubilé par l'image extérieure des choses. Dire qu'il n'y a pas si longtemps encore, une femme avec des rondeurs était une madone XD.

ouai!
je digresse mais (waou comment je fais style je parle bien pour pas dire je flood ^^) je serai vénérée si je vivais dans la grèce antique

Je t'accompagne nahia ^^

Mais tu sais pas la peine de remonter à la grèce antique, le siècle dernier encore, même si les femmes affichaient une taille de guêpe (vive le corset), elles étaient bien en formes.

comme j'ai lancé le débat avc ma dissert de français lol.

de toute façon les filles font bcp trop de chichi avc leur physique, moi je trouve qu'une fille ki a des formes c mieux k'une fille tte plate et tte maigre, t'as l'impression de te taper un sac d'os et sa c pas trop cool. ^^

Bon là, on parle des filles/femmes, mais il faut savoir que ce phénomène atteint de plus en plus la gent masculine. De plus en plus de magazines, pub, etc nous montre l'homme idéal, et cela créé un point de comparaison qui selon les personnes, vont le atteindre plus où moins.

Donc tout comme la femme, l'homme est amené à se sentir inférieur et mal dans sa peau vis à vis de ces mannequins, athlete et autres icônes masculine, admirés et sujet de comparaison féminin.